Adhérent du CJD Agen – Lot-et-Garonne depuis 2012. Je dirige plusieurs entreprises dans des secteurs assez différents. Les deux principales étant l’agence de presse COM’Presse, qui compte une cinquantaine de collaborateurs, et un café restaurant qui en compte six. J’ai la chance d’être vice-président du CJD France jusqu’en juin 2022.
Qui es-tu ?
Grande question. Un papa doux, un entrepreneur curieux, un garçon passionné élevé par des femmes, convaincu que tendresse et amour se marient parfaitement avec énergie, engagement et une certaine forme de militantisme.
Qu’est-ce que tu rêvais de faire enfant ?
Je voulais écrire des histoires, dès l’âge de six ans. A dix ans j’appelais Hachette Jeunesse pour leur proposer d’écrire la suite des six compagnons main dans la main avec leur auteur historique. Ma belle histoire s’est interrompue prématurément lorsque la dame au bout du fil m’a expliqué qu’il était décédé depuis belle lurette. J’ai la chance de vivre ce rêve aujourd’hui, même si j’ai tendance à penser que les histoires que j’écris sont bien trop sérieuses.
De quoi es-tu fier dans ton entreprise ?
De l’amour sincère qui y règne. J’ai la conviction que l’Entreprise est au cœur de tout, au cœur du vivre ensemble, première génératrice de lien social… Il est d’autant plus important qu’on y soit heureux, ou, à défaut, particulièrement épanoui. Ce n’est pas toujours simple, notamment dans la période actuelle, alors je suis fier d’avoir la certitude qu’il y a dans notre petite boite quelque chose qui transcende le reste et qui se vérifie chaque semaine, les bonnes comme les mauvaises.
Pourquoi le CJD ?
Parce que le CJD m’a permis de comprendre très vite que chef d’entreprise était un métier en soi, et qu’on faisait le même job, quelles soient les activités de nos entreprises. Parce qu’il me nourrit, m’oblige à prendre un recul permanent sur ma posture et mon boulot. Parce qu’il m’apporte du fond et de l’énergie, et qu’il me fait un cadeau encore plus grand lorsqu’il me donne l’impression que j’en apporte aussi aux autres.
