Portrait de JD : Benjamin Tardiff

Antenne

CJD Angers

Entreprise

Video Flex

Adhérent du CJD depuis 2015 section Paris puis section d’Angers depuis 2018 et dirigeant de VideoFlex, société de production vidéo dédiée aux entreprises des Pays de la Loire et Île-de-France.

Qu’est-ce que tu rêvais de faire enfant ?

Très tôt le cinéma et le journalisme m’ont attiré car j’avais un monde intérieur fort, nourrit dès mes 5-6 ans par les livres que je dévorais en permanence et jusqu’à tard dans la nuit (nous n’avions pas la TV à la maison et avec le recul c’était une chance ?.) J’avais aussi envie de chroniquer le monde, la vie, les gens, inspiré par le « journal des enfants » que je lisais quotidiennement dès le CE2-CM1. Au final, je me rend compte qu’ayant assez donné la parole à d’autres, il est temps de la prendre moi maintenant !

De quoi es-tu le plus fier dans ton entreprise ?

Je suis fier d’avoir instauré « le conseil d’entreprise », ( presque) chaque semaine. Nous prenons un temps pour partager à cœur ouvert ce que l’on a aimé de la semaine, ce que l’on n’a pas aimé, une félicitation pour un membre de l’équipe (si justifié), et des points d’ordre du jour à aborder si besoin. (Idée dérivée du «* Conseil de Famille* » que je pratique aussi et amenée à ma connaissance en 2015 par une JD Stéphanie FLORENTIN (merci !).
Je suis aussi fier que 5% du temps de Video Flex (1 jour/mois/équivalent temps plein) soit utilisé pour des actions RSE : WiFille / 100 000 entrepreneurs / réaliser des vidéos pro bono pour des associations qui n’en ont pas les moyens, soutenir des fondations (Esperancia), etc.

Pourquoi le CJD ?

À mesure que ma précédente aventure entrepreneuriale s’étoffait (une société audiovisuelle dans l’Esport (compétition de jeu vidéo)), j’ai ressenti le besoin d’aller m’inspirer ailleurs, de rencontrer des pairs qui soient dans des domaines radicalement différents. Je sentais que nous avions des problématiques communes. Et je ne me suis pas trompé . Le CJD a été et reste une école pour moi, autodidacte, qui a besoin de vivre les choses pour les intégrer. Mon conflit d’associé de 2016 n’aurait pas été aussi bien (moins mal) traversé sans le CJD et la commission « Rebondir en conscience » ainsi que « force et confiance » qui m’ont permis de franchir plusieurs caps (Merci aux groupes et animateurs !)
Aujourd’hui le CJD continue de jouer ce rôle pour moi, dans ma section et notamment au travers de projets qui me permettent de progresser à vitesse grand V vers une organisation plus en phase avec les valeurs du mouvement et les miennes !